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 Lusitania ▼ Je ne t'en veux pas... Désolé, je plaisante

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Lusitania J. Wendel
Lusitania J. Wendel
Queen of Heart
Deuils : 109 Enterré le : 06/08/2014 Job : Strip Teaseuse à Dark Paradise

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MessageSujet: Lusitania ▼ Je ne t'en veux pas... Désolé, je plaisante   Lusitania ▼ Je ne t'en veux pas... Désolé, je plaisante EmptyDim 10 Aoû - 13:53

Lusitania Jessica Wendel

Bonjour! Je m'appelle Lusitania mais mes amis me surnomment Luz'. Je suis née à Dallas le 15.06.1988 et de ce fait j'avais donc 25 ans. Côté coeur, je suis célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est hétérosexuelle. Je suis strip teaseuse et vous devez savoir que je suis une ancienne profiler du FBI. Ma mort remonte maintenant à onze mois, ce qui fait donc que j'ai en réalité 26 ans. Je suis membre des Murders. On dit souvent que je ressemble à Genevieve Cortese-Padalecki et je remercie tumblr pour les photos.

Caractère
Maman me compare à une rose. Parce qu'on remarque d'abord ma beauté aussi bien extérieur qu'intérieur avant de se rendre compte que j'ai des piquants. Je suis une jeune femme qui a un assez bon sens de l'humour... Sauf quand c'est à mes dépends, cela va de soit. En même temps, avait vous déjà vu quelqu'un rire de lui même? Ce qui fait que je suis une jeune femme assez sympathique. Je suis amusante et très souriante, légèrement déjantée mais c'est cela qui fait mon charme. J'adore jouer, je suis restée très enfant de ce côté là. J'adore parler, je suis une véritable pipelette et pas pessimiste pour deux sous. Je suis naturelle et très franche, je dis toujours ce que je pense, sans penser aux conséquences. Autre chose: je suis fidèle. Alors si je suis avec un homme, je n'irais jamais voir ailleurs.

Mais voilà, j'ai également des épines et pas des moindres. Déjà, je suis assez violente. Et j'adore les vengeances. Sachez que si jamais vous me cherchez, vous n'êtes jamais sur de savoir dans quel état vous serez après que vous m'ayez trouvé. Je suis également du genre râleuse... Et extrêmement susceptible. Et dans le genre colérique, je crois que j'en tiens une sacrée couche... Alors vaut mieux éviter de me chercher. Car n'oubliez pas, je mords. J'ai un caractère bien trempé et je suis du genre têtue... Vous voyez une mule? Et bien, je suis bien plus têtue qu'elle. Alors, levez vous tôt si vous voulez me faire changer d'avis.

Dû moins, ça, c'était avant. Maintenant, certes, mes qualités sont toujours là mais elles sont cachées bien profond en moi et je ne les fait sortir. Ce ne sont que mes défauts qui ressortent aux yeux des autres, faisant que je n'ai que peu d'amis. De plus, je suis devenue une véritable garce. La fille que l'on aimerait pas avoir dans ses amis car elle serait capable de se taper tous les hommes présents en même temps. Mais ça, ce n'est qu'une apparence car même si aguiche, je stoppe quand je vois que cela commence à dégénérer. Je ne m'attache jamais à personne, cela fait trop mal de les perdre. Aucun ami, aucun proche... Les seuls personnes dans mon coeur sont restés sur terre.

Cause de la mort
Pour beaucoup, la mort est un fardeau avec lequel il faut vivre comme avec une épée de Damoclès au dessus de la tête. Personnellement, ma mort fut une délivrance après deux jours et deux nuits de torture diverses et variées de la part d'un tueur en série. Mais pour me tuer, je crois que son cerveau à buguer. Il aurait pu utiliser une arme à feu ou une arme blanche pour cela... Mais non, il préféra me briser la nuque en me laissant tomber dans mon escalier de secours. Il fut obligé de me porter car j'étais incapable de tenir sur mes jambes. La chute fut longue entre les deux paliers. Mais la souffrance à laquelle je m'attendais fut moindre comparé à ce que j'avais vécu les deux jours d'avant. La chute me brisa la nuque et je mourus rapidement, sans un bruit, incapable d'articuler un mot car l'air sortait inexorablement de mes poumons sans que je puisse respirer.

Bonjour! Je suis Miss Dori et j'ai 23 ans. J'ai connu le forum en le créant et je dois dire que je le trouve joker. Je serais présente 7j/7. Je dois dire que j'vous aime tellement que je deviens schizo ^^. Pour finir, le code du règlement est pas ici.


Code:
[color=red]×[/color] Lusitania J. Wendel alias Genevieve Cortese-Padalecki

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Lusitania J. Wendel
Lusitania J. Wendel
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Deuils : 109 Enterré le : 06/08/2014 Job : Strip Teaseuse à Dark Paradise

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MessageSujet: Re: Lusitania ▼ Je ne t'en veux pas... Désolé, je plaisante   Lusitania ▼ Je ne t'en veux pas... Désolé, je plaisante EmptyDim 10 Aoû - 13:54

La vie est une pute de luxe

Histoire
Ma vie n'aurais pas du être ce qu'elle a été. J'étais pourtant née entouré de l'amour de mes parents et de ma grande sœur. Mais quelque part, on ne voulait pas mon bonheur. Mes trois premières années de vie furent belles et radieuses. Pourquoi seulement les trois premières? Tout simplement parce qu'un beau jour, des hommes entrèrent dans la maison où j'habitais avec mes parents et ma sœur aînée. C'étaient de simples cambrioleurs mais quand mon père se leva parce qu'il avait entendu du bruit et qu'il voulait savoir ce que c'était, les cambrioleurs devinrent des meurtriers. Ils tuèrent mon père ainsi que ma mère et ma sœur, alertées par le bruit. Bien sur, je me suis mise à pleurer et cela fit venir l'un des cambrioleurs. Plutôt que de me tuer, ce dernier me prit contre lui et me ramena chez lui en me faisant passer pour une petite orpheline qu'il avait trouvé dans un caniveau. Bien sur, j'étais bel et bien orpheline à cause de lui mais je n'avais pas été trouvé dans un caniveau. Le lendemain de l'assassinat de mes parents, les journaux de notre petite province texane firent leurs gros titres avec le triple assassinats et la disparition de la petite dernière, tout juste âgée de trois ans. Les policiers texans eurent beau chercher à retrouver la petite fille, ils n'y arrivèrent jamais. Tout simplement parce que mon kidnappeur, qui deviendra mon père, avait été muté dans une autre ville, bien loin du Texas. Notre destination? Cheyenne, dans le Wyoming. Je fus renommée Lusitania Jessica Wendel et dû attendre quatre ans avant qu'un nouvel enfant viennent agrandir la famille. C'était un petit garçon du nom de Jack, un adorable petit bambin. Jamais je n'avais pensé que mes parents n'étaient pas mes parents biologiques. Pourquoi en aurais je douté? Je n'avais connu qu'eux dans ma vie. Mes vrais parents étaient un souvenir enfoui profondément dans ma mémoire, caché derrière une porte fermé à double tour.

Malgré nos sept ans d'écart, Jack et moi nous entendions comme des jumeaux, sachant parfaitement ce que désirait l'autre sans que l'on ait besoin de parler. Cela faisait grandement plaisir à nos parents qui avait craint que notre différence d'âge ne nous sépare. Notre père rentrait de plus en plus tard le soir mais Jack et moi étions contents de profiter de notre mère, de l'avoir rien qu'à nous. Rapidement, papa monta en grade pour devenir commissaire et avoir un commissariat de police sous ses ordres. Ah oui, j'avais oublié de vous dire ça je crois. Mon père, l'homme qui avait tué mes parents biologiques ainsi que ma grande sœur, était un policier. Ca la fout mal, n'est ce pas? Cependant, ignorant tous des forfaits commis par mon père, je me pris d'une forte admiration pour lui et pour les forces de police en général. Je voulais devenir agent des forces de l'ordre et surtout membre du FBI, de la très célèbre équipe de profilers de Quantico. Je mis toutes mes forces dans mes études. A seulement treize ans, je savais ce que je voulais faire. A 18 ans, j'obtins mon diplôme avec mention et pus partir faire des études de psychologie à l'université. Diplômée avec mention à 23 ans, j'étais fière de moi et mes parents l'étaient également. J'entrais à l'école du FBI et un an plus tard, j'étais promu agent de terrain au sein de l'équipe de profiler. Tout se déroula bien, j'étais un bon agent et un bon profiler grâce à mes années de psychologie. Et puis, l'affaire qui vous marque à jamais. Celle que vous n'oublierez jamais. Sept ans que je n'étais pas revenu à Cheyenne sauf pour les repas de Thanksgiving. Et voilà qu'un tueur en série y sévissait. Soudain inquiète pour ma mère, ce fut elle que j'allais voir directement après l'atterrissage de notre avion sur le petit aérodrome de la ville. L'enquête fut rapidement bouclé et le meurtrier, un véritable sociopathe en rupture complète avec la réalité fut arrêté.

En quoi m'a-t-elle marqué? Laissez moi continuer, vous allez comprendre. Le procès commença à Cheyenne et ce fut un jeune juge fraîchement sorti de l'école qui fut nommé pour présider le procès. Daniel Candel, un jeune juge sympathique certes mais très inexpérimenté pour ce genre de procès. Et avec une défense telle que celle u meurtrier... Il n'avait aucune chance de rendre un jugement favorable. Après trois semaines de procès où le FBI, et surtout notre équipe, ne fut pas épargné, le juge ne put que rendre le jugement que nous imaginions. Il jugea le meurtrier non coupable et le libéra en s'excusant de la méprise. Autant vous dire que notre équipe en avait gros sur le moral. Surtout moi. Je savais qu'il allait se remettre à tuer et que ma mère faisait partit de la victimologie parfaite du tueur. Cependant, en revenant à Quantico, j'avais l'impression d'être suivi assez souvent quand je rentrais chez moi. Je pensais que c'était juste moi. Pendant une semaine, je pris souvent des nouvelles de ma mère, cherchant à éviter qu'elle ne soit victime du tueur. C'est ainsi que j'appris qu'il avait disparu à peine relâché. Soupirant, je quittais mon bureau en disant à mes collègues que je serais absente pendant deux jours, pour cause de congé. Si seulement j'avais su ce qui allait arriver, jamais je ne leur aurais donné cette information. En rentrant chez moi, je fus surprise de trouver un SDF devant la porte de mon immeuble. Méfiante, je décidais cependant d'aller lui proposer mon aide. Mais en arrivant près de lui, l'homme me prit le bras et y enfonça une aiguille. Le temps que je comprenne ce qu'il se passait, j'étais déjà tombé au sol, inconsciente. Je ne me réveillais que une heure plus tard, ligotée à une chaise dans ma propre cuisine. Le SDF s'approcha de moi et enleva son costume. Je reconnus alors le tueur de Cheyenne, celui là même que le juge Candel avait fait libérer à cause de son inexpérience. Je savais que j'allais souffrir et que personne ne s’inquiéterait de mon absence au bureau car j'étais en congé.

Pendant deux jours, je ne fus que douleur et souffrance. J'étais bâillonné pour éviter que mes hurlements n'attirent l'attention de mes voisins. Au programme des réjouissances, enfin pour le tueur: tortures en tout genre et viols multiples. Je ne rêvais que d'une chose: mourir. Ma mort arriva comme une délivrance à la fin du deuxième jour, la veille du jour où j'aurais du retourné au travail. L'homme traîna la chaise jusqu'à la fenêtre qui donnait sur l'escalier de secours et me détâcha. J'aurais pu en profiter pour m'enfuir mais j'étais trop faible pour pouvoir tenir sur mes jambes alors marcher... Et attention, courir, c'était totalement impossible. Le tueur me prit donc entre ses bras pour me monter à l'étage au dessus du mien. Je pensais qu'il allait me jeter dans le vide mais non, rien du tout. Il préféra me jeter dans l'escalier et regarder mon corps rebondir sur les marches. Les différents chocs me faisaient mal mais la douleur était moindre comparé à ce que j'avais vécu pendant deux jours. Finalement, mon corps s'immobilisa sur le palier qui donnait sur ma fenêtre. Si je n'étais pas morte sur le coup, cela n'allait pas tarder. En atterrissant, ma nuque s'était brisée et il ne me restait que quelques secondes de vie. Je ne vis même pas le tueur s'enfuir que c'était déjà le noir autour de moi.

Rouvrant les yeux, j'étais entouré de blanc et la lumière était violente, comme si on m'avait mis une lampe directement dans les yeux, comme font les médecins pour vérifier les réflexes pupillaires. Je me mis à avancer et je finis par me retrouver dans une rue. Je ne connaissais rien de cette ville et je tombais sur une âme charitable qui m'expliqua que si je me trouvais là, c'est que j'étais morte. J'eus l'information que je voulais: je pouvais redescendre sur terre. Mais cela avait une conséquence. Je ne pouvais pas leur parler ni les toucher. Redescendant sur terre, je retournais auprès de mon corps, toujours sur le palier de l'escalier de secours. Le soleil se levait à peine et deux heures plus tard, mon patron arriva dans mon appartement. Il remarqua tout de suite la fenêtre ouverte et s'approcha, arme au poing. Quand il remarqua mon corps, il se précipita vers moi et n'eut pas besoin de poser ses doigts sur ma carotide pour se rendre compte que j'étais morte. Il prévint le reste de l'équipe qui débarqua avec le légiste. Je restais près d'eux pendant toute la durée de l'enquête, en remontant de temps en temps à The City. Ils finirent par retrouver le tueur en série et le firent condamné à perpétuité pour le meurtre d'un agent du FBI. Enfin en paix, je retournais à The City pour ne jamais remettre les pieds sur terre.

Mais six mois après la fin de l'enquête, j'eus envie de revoir le juge Candel, de savoir ce qu'il était devenu après le premier procès de l'homme qui m'avait tué. Je redescendis donc sur terre pour voir le juge Candel. J'apparus sur une route de campagne trempée par la pluie. Au loin, je voyais deux voitures arriver et elles allaient finir par se croiser. Et d'après ce que je voyais, je n'étais pas très loin de cet instant. Alors que je m'attendais à ce que les deux voitures passent sans me voir, l'une d'elle fut un brusque écart et vint percuter l'autre. Pourquoi cette voiture avait elle fait ce brusque écart? Je connaissais l'existence des médiums mais quel était la probabilité que ma route croise la sienne. Me concentrant sur l'accident, je vis que la voiture qui avait été percuté avait heurté assez violemment un arbre. Je m'approchais de la voiture accidenté pendant que le médium sortait difficilement de son propre véhicule. Arrivant à la fenêtre du conducteur, je me rendis compte que ce n'était autre que le juge Candel qui se trouvait là. Le médium m'appela et me demande ce que je faisais au milieu de la route. Pour seule réponse, je retournais à The City, disparaissant doucement aux yeux du médium. Revenant à The City, j'essayais de me persuader que le juge allait survire à cet accident et qu'il ne viendrait jamais à The City. Une fois de retour définitivement à The City, je décidais de quitter ma chambre d'hôtel et de trouver un logement digne de ce nom. Après tout, j'étais condamnée à rester longtemps à The City alors autant avoir un certains confort pour cela. Cependant, malgré mon diplôme de psychologie et mes années de loyaux services au sein du FBI, le seul emploi que je pus trouvé fut celui de strip teaseuse dans une boite miteuse de Hilton Valley. Autant vous dire que c'était assez mal payé et même avec les pourboires donnés par les clients, je ne trouvais qu'un banal petit studio juste au dessus de mon lieu de travail. Il n'était pas rare de voir les flics faire une descente dans la boite pour essayer de démanteler le réseau de drogue qui sévit dans les coins sombres de la boite de strip tease. Mais jamais les policiers n'ont réussi à trouver la moindre preuve. Nous avions une taupe dans la police qui nous prévenait à l'avance des descentes de police et qui permettait aux dealers de cacher la came avant que la police n'arrive. Autant vous dire que mon estime de la police a largement baissé depuis mon arrivée dans la boite. Avant, j'étais respectée et voilà que là, j'étais traitée comme une vulgaire prostituée, juste bonne à faire garage pour mes clients. Je fus plus d'une fois conduite au poste de police pour rébellion et insultes à agents. Mais je n'ai jamais fait de séjour en prison. J'étais toujours relâché après une garde à vue de 48 heures. Je ne perdais pas mon emplois de strip teaseuse, le patron aimant les rebelles dans ses effectifs. Et puis, je dois vous avouer que je participais de temps en temps au trafic de drogue en transportant les valises contenant la drogue jusqu'aux dealers et en revenant à la boite avec une valise remplit d'argent.

Pour me faire à ma nouvelle vie, j'ai totalement changée. Adieu la gentille Lusitania, bonjour la garce, celle que l'on aimerait mettre dans son lit mais qui aguiche sans jamais aller plus loin. Je me suis toujours refusé à coucher avec un client. Je suis strip teaseuse et pas prostituée. Je me suis faite tatouer une femme nue sur une barre de lap dance sur la cheville ainsi qu'un tatouage qui prenait tout le dos en représentant une plume d'où s'envolait des oiseaux noirs. Et juste au dessus, était tatouée une phrase en anglais qui disait « The death, it is as to fly away », ce qui signifiait « la mort, c'est comme s'envoler ». J'étais assez contente de mon choix de phrase. Pour résumer, ma vie se résume à mes nuits de travail en tant que strip teaseuse et mes journées à me balader dans The City avec soit une valise de drogue, soit une valise d'argent.

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